Une critique de Une sorte de nitescence langoureuse
par Sylvie Bérard
On dirait bien qu’elle a pris du plaisir à lire mon livre.
Lorsque je lis un roman, j’aime bien marquer les pages dont le texte m’interpelle, celles dont je voudrais citer un extrait dans mon article, ou encore les pages où je découvre des figures de style et que je voudrais relire. Or, pour une rare fois, je crois avoir marqué ce petit bouquin de 160 pages, à peu près à toutes les 2 ou trois pages. Je me rends donc à l’évidence que ce roman, style essai sur la littéraire, est complètement dans mes cordes et que je suis tombée en amour avec la plume de Sylvie Bérard.
Source: Infoculture.