Les pages littéraires de Sylvie Bérard

Science-fiction, littérature, écriture

Mois : janvier, 2019

Petit défi amusant

La première personne QUI TROUVERA à quel roman je fais allusion dans les trois faux extraits de romans tirés de Une sorte de nitescence langoureuse et affichés sur mon blogue sylvieberard.net depuis trois semaines ET PARTAGERA la bonne réponse dans la section des commentaires de ma page Facebook recevra un petit cadeau personnalisé:

De ma plume, un extrait parodique d’un roman québécois ou franco-canadien de son choix (à la condition que je le connaisse!).

Date limite: 31 janvier 2019.

NB 1: Je donnerai les bonnes réponses après le 31 janvier.

NB 2: Il va sans dire que les employé.e.s d’Alire et ma blonde sont exclu.e.s de ce concours!

Comment faire taire la mort sur Bételgeuse

« Je blague. En fait, ce livre raconte l’histoire de deux jeunes androïdes noirs dont l’origine n’est jamais préciséeet qui vivent exilés sur une grande planète surpeuplée du milieu de la Voie lactée. Les deux androïdes passent une partie de leur temps libre, qu’ils ont abondant, dans les univers 3D, et lorsqu’ils ne vivent pas des aventures par procuration, ils essaient d’en concevoir eux-mêmes, ils en discutent et en théorisent. Surtout, ils se matérialisent dans tous les coins de la planète pour draguer les jolies extraterrestres locales et revenir dans leurs quartiers d’habitation pour discuter des relations mixtes entre les androïdes et les aliens. Ce roman est, plus que son titre irrévérencieux, voué à attirer sur lui le scandale. C’est un regard sarcastique sur l’héritage culturel, les rapports entre individus et les préjugés encore tenaces. » — Sylvie Bérard, Une sorte de nitescence langoureuse.

« Page décentrée »: Contraintes libératrices

Dans la livraison du 15 janvier de ma «Page décentrée», j’aborde la question des contraintes en écriture en me basant sur un projet créatif/expressif, non pas textuel mais en images, que j’ai réalisé en janvier 2018 (et qu’on peut trouver sur mon site).

Le document original se trouve sur le site de l’association Pédagogie et pratiques canadiennes en création littéraire (PPCCL).

Le robot d’M1000

« Ha ha, mais non. C’est plutôt l’histoire rocambolesque d’Effloran, un jeune extraterrestre ambitieux, dont le destin croise celui de Schiele, riche Terrien sans âge et aux desseins troubles. Ce dernier permettra à Effloran de réaliser un de ses rêves les plus chers, soit d’acquérir un satellite décrépit, de le restaurer et de faire fortune dans la galaxie. Dans ce roman de dur apprentissage, on croise aussi le petit robot M1000 qui vit clandestinement aux abords du satellite après avoir échappé de justesse à la casse et qui trouve ses pièces de remplacement dans les bacs de récupération de la surface cabossée du satellite en question, toujours accompagné d’un fidèle robot plus petit que lui qu’il a bricolé à l’aide de bouts de ferraille et qu’il nomme simplement Mimi. Effloran, d’abord confiant, constatera bientôt que la générosité de Schiele a un prix et que s’il ne lui obéit pas aveuglément, ce dernier peut se retourner contre lui à n’importe quel moment. Seul Mimi verra clair dans le jeu de Schiele – mais qui prête attention à un minuscule robot ? Un roman captivant que vous ne voudrez pas lâcher. » — Sylvie Bérard, Une sorte de nitescence langoureuse.

Les fils de la base KLB-IV

« Vous voyez, c’est l’histoire d’une extraterrestre passionnée, Millidelo, dont nous suivons la destinée de la fin du vingt-deuxième siècle jusqu’à la fin du vingt-quatrième siècle terrestres. Formatrice sur une base spatiale secondaire, elle s’éprend d’un androïde placé sous sa tutelle. Malgré la réprobation de ses pairs, elle finira par unir sa vie à ce dernier, mais à quel prix ? Les amours de BG8L et de sa belle brumeuse, les défis de leur vie dans la promiscuité des bases spatiales, rythmée par la production de nouveaux androïdes et les aléas de la vie dans l’espace, une cruelle séparation et, enfin, d’ultimes retrouvailles sur la terre ferme, soit sur la planète Eldorade récemment colonisée, voilà ce qui nous est relaté dans cette oeuvre qui enflamme l’imagination du lecteur. Mon roman aurait pu s’intituler Les Fils de la base KLB IV. » — Sylvie Bérard, Une sorte de nitescence langoureuse.