Je viens de lire un petit bijou de bouquin : Une sorte de nitescence langoureuse. Oui, je sais, drôle de titre (*), qui fait presque trop littérature sérieuse (ou plutôt qui se prend au sérieux), et c’est voulu, puisque ce livre raconte l’histoire parallèle de deux auteures ; la première, scientifique accomplie et sérieuse, vient de publier un premier roman acclamé par la critique (dithyrambique comme le montrent plusieurs extraits tirés de divers médias), et son premier roman porté aux nues s’intitule justement Une sorte de nitescence langoureuse, titre qui donne le ton au genre de roman et au genre de critique qui ont adoré cette œuvre saluée à l’unanimité.
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